social

Chap Repas@JamesMillar

Vivre en groupe pour se tenir show 

En France, depuis 2004, les circassiens réunis au sein du Cheptel Aleïkoum réinventent l’habitat groupé, tandis qu’en Belgique, les Malunés se baladent avec un chapiteau sur le dos. Le cirque, friand d’échange et de collaboration, est le chaleureux laboratoire d’une autre société. 

Circusdagen 2018_Circus Zonder Handen ©Lien Wevers

Le cirque, source de cohésion locale

La formation aux arts du cirque peut être un formidable outil pédagogique pour créer du lien et de la convivialité. On s’est glissé dans les ateliers de Circus Zonder Handen et de l’asbl Trapèze, deux expériences bruxelloises fortement impliquées dans la vie de leur quartier.

Mohamed El Mokhtar@Bilal Lamarti 1

Sans les mains, mais avec beaucoup de cœur

Sur la piste d’un monde plus juste, Circus Zonder Handen se définit comme une « école de cirque d’insertion sociale ». Chaque semaine, elle accroche un public de plus de 800 jeunes Bruxellois. Mohamed El Mokhtar, 16 ans, y a grandi et fait aujourd’hui partie de l’équipe d’animation.

Upsala©Upsala Circus

En Russie, des voyous à l’école de la liberté

Il se baptise lui-même « l’unique cirque au monde pour les voyous ». Ses artistes sont des jeunes en difficultés. Le cirque Upsala, basé à Saint-Pétersbourg, impose sa foi dans…

Semmama, novembre 2017©DR

Engagement : Du cirque contre l’obscurantisme

C’est une incroyable aventure de cirque qui se poursuit au cœur du désert tunisien. Dans son moteur, Lisbeth Benout, figure du cirque bruxellois (elle a créé l’Énac, future Ésac, en…

Douze défis pour demain

Éviter la pommade, oser les questions qui fâchent. Quelles sont les forces et les défis pour Bruxelles la circassienne ? Nous sommes partis à la rencontre de douze opérateurs du…