Dossier Les nouvelles tribus
Benji
Depuis plus de 20 ans, Benjamin « Benji » Bernard vit au « cœur » du cirque bruxellois – il a même un moment habité dans les douches de l’Ecole Sans Filet. Jongleur, musicien et artiste tout-terrain, membre des Argonautes (famille visiblement soudée), amoureux d’une trapéziste et jeune papa, quel regard jette-t-il sur l’évolution des « tribus » circassiennes ? Où le cirque et ses affinités électives se définissent par le besoin de confiance et de collectivité.
En bonne compagnie
Chercher ensemble, faire cercle, trouver son langage, rêver à un spectacle, partir en tournée : la vie de troupe ou de compagnie est le socle du développement artistique pour la plupart des circassiens. A l’amour, à la vie ? Ces « tribus » que l’on se choisit ne sont bien sûr pas exemptes de défis.
Une affaire de famille
Au début, la tribu de cirque, c’était elle. La « famille », c’était le clan avec lequel on se formait, travaillait, voyageait : famille et compagnie étaient synonymes. Qu’en est-il en 2016 ? Éléments de réponse en un tour de piste, de la tradition d’hier à la débrouille d’aujourd’hui.